Fin de journée et boisson faisant son œuvre, c’est un Ovule maltraité et mourant qui fit la manœuvre. Roulant discrètement jusqu’au livre doré, il souhaitait s’amuser lui aussi à juger.
À ceux qui pensent la chose impossible. Ceux qui de la pureté n’ont plus rien de crédible. Sachez que l’Ovule se réserve les demoiselles en bon âge. Celles qui pourraient prétendre y voir héritage. Qu’ainsi donc nul autre ne peut l’entendre, pauvres êtres qui se devront d’attendre. Car pour l’heure et sans mâle du meilleur choix, le voilà forcé à faire n’importe quoi.
Mais revenons au livre, car tel est le sujet. Ces feuilles blanches dans un cuir, enfermées. D’une lecture rapide il ne fut que peu surpris, quand de ces simples mots tout semblait déjà dis. Mais l’Ovule de sa grandeur naturelle, souhaita plus que tout féliciter la belle. Et reprenant tous ceux déjà présents, il y fit l’éloge de son grand talent.
Ainsi eut-il écrit s’il le pouvait, mais de sa situation je vous en ai déjà parlé.